© Revue de presse de l’actualité africaine de RADIOTAMTAM AFRICA. REVUE DE PRESSE 21 juillet 2025

21 juillet 2025 - 17:57 - 816vues
Nous avons une petite faveur à vous demander pour soutenir notre travail Cliquez ici
À propos de Félicité Amaneyâ Râ VINCENT - Rédactrice en chef à RADIOTAMTAM AFRICA , Félicité s'engage à façonner la radio de demain pour une Afrique prospère, inspirante , et prête à illuminer le monde. Restons en contact
Bonjour, chères auditrices, chers auditeurs, nous avons le plaisir de vous présenter notre la © Revue de presse de l’actualité africaine de RADIOTAMTAM AFRICA.
RADIOTAMTAM AFRICA, c’est la voix d’un journalisme libre, précis et indépendant, qui informe l’Afrique et sa diaspora en toute autonomie, sans langue de bois ni censure.
Nous sommes le lundi 21 juillet 2025, et je suis Félicité Amaneyâ Râ VINCENT, votre journaliste engagée, pour ce tour d’horizon quotidien des faits marquants du continent.
Chaque jour, suivez l’actualité du continent comme vous ne l’entendrez nulle part ailleurs.
Soutenez votre station indépendante, RADIOTAMTAM AFRICA.
C’est un excellent moyen de défendre un journalisme engagé, d’éclairer les consciences, tout en profitant gratuitement de nos émissions, débats, chroniques et podcasts.
Donnez un peu… recevez beaucoup.
Un don de seulement 2 € peut suffire à amplifier notre voix !
Merci pour votre fidélité à ce rendez-vous quotidien, diffusé chaque jour à 19h GMT, en direct depuis Bezons.
Message fort à la diaspora : Brise ta corde invisible
Un jour, en passant devant des éléphants dans un zoo, j’ai été frappé par une image troublante :
De gigantesques animaux, majestueux, puissants… retenus simplement par une fine corde attachée à leur patte avant.
Aucune chaîne. Aucune cage. Et pourtant, aucune tentative de fuite.
Curieux, je demande au dresseur :
« Pourquoi ces éléphants ne se libèrent-ils pas ? »
Il répond :
« Quand ils étaient petits, cette corde les retenait. En grandissant, ils ont intégré l’idée qu’ils ne pouvaient pas s’en défaire. Alors, ils n’essaient même plus. »
Le conditionnement est plus fort que la force.
Et toi, membre de la diaspora ?
Quelles fausses limites t’ont été imposées ?
Combien de rêves sont restés à l’arrêt, non pas faute de moyens,
mais parce qu’on t’a fait croire que ce n’était pas pour toi ?
Ce message est un appel : brise ta corde invisible.
Tu n’es plus petit.
Tu as grandi.
Tu es capable.
Ceux qui contrôlent ta pensée contrôlent ton destin.
Diaspora africaine, reprenons le pouvoir de croire, d’agir, de construire.
Chère sœur, cher frère,
Nous ne dépendons ni des grandes puissances, ni des lobbies.
Nous dépendons de vous.
Chaque jour, RADIOTAMTAM AFRICA défie le silence, la censure et la désinformation pour faire entendre la voix vraie de l’Afrique.
Une voix libre. Une voix courageuse.
Une voix que vous avez choisie d’écouter.
Mais aujourd’hui, nous avons besoin de vous.
Un don de seulement 2 € peut faire toute la différence.
Ce n’est pas juste un geste.
➡️ C’est un acte de résistance.
➡️ C’est affirmer que nous refusons de nous taire.
Cliquez ici pour soutenir notre combat
La parole est une force. Ne la laissons pas tomber.
Avec tout notre respect et notre détermination,
L’équipe de RADIOTAMTAM AFRICA
Et maintenant, place à l’actualité !
Voici votre tour d’horizon du 21 juillet 2025.
AFRIQUE CENTRALE GABON SELON RADIOTAMTAM AFRICA Gabon – PDG : Le parti de Bongo en pleine implosion. Le Parti Démocratique Gabonais (PDG) traverse une crise de légitimité sans précédent. Ce 21 juillet 2025, son siège à Libreville est devenu le théâtre d’un affrontement ouvert entre deux factions rivales : les fidèles d’Ali Bongo Ondimba, président déchu mais toujours influent depuis son exil à Londres, et la nouvelle direction installée après un congrès controversé en janvier dernier.
Deux camps, une même ambition : contrôler le PDG
D’un côté, les partisans d’Ali Bongo, emmenés par Arthur Benga Ndjémé – proche d’Ali Akbar Onanga Y’Obegue, secrétaire général désigné par l’ancien président – veulent réaffirmer leur emprise sur le parti. Ils avaient annoncé une réunion ce 21 juillet au siège du PDG à Libreville.
En face, la direction actuelle, issue du congrès de janvier 2025, est dirigée par Blaise Louembé et Angélique Ngoma. Bénéficiant d’un soutien tacite des autorités militaires, elle occupe déjà les lieux et affirme être la seule direction légitime. L’accès au bâtiment a été bloqué, et les partisans de Bongo ont annoncé leur intention de dresser un constat d’huissier en cas d’empêchement.
Un parti au cœur d’une recomposition politique
Depuis le coup d’État militaire du 30 août 2023, qui a mis fin au règne d’Ali Bongo, le PDG est en perte de repères. Créé par Omar Bongo en 1968, le parti a incarné l’État pendant plus de 50 ans. Le départ brutal de son chef historique a laissé un vide. Le congrès de janvier, qualifié d’illégal par les bongistes, a entériné une transition interne visant à aligner le PDG sur la nouvelle ère post-Bongo.
Le pouvoir militaire arbitre silencieux
Officiellement, le président de transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, se tient à l’écart. Mais les signaux sont sans ambiguïté : la police nationale protège la direction Louembé-Ngoma, et l’État semble favoriser une rupture assumée avec l’héritage Bongo. Cette manœuvre pourrait s’inscrire dans une volonté d’assainissement de l’espace politique avant les futures élections.
Un symbole de la guerre des légitimités
Au-delà de la querelle d’occupation des lieux, ce bras de fer illustre un affrontement plus profond : celui du passé contre l’avenir, du système Bongo contre la refondation prônée par les militaires. Pour Ali Bongo, le PDG reste un dernier bastion d’influence. Pour le régime en place, c’est un instrument à remodeler ou à neutraliser.
Vers une implosion ou une renaissance ?
Aujourd’hui, le PDG est un parti divisé, sans direction consensuelle, ni cap idéologique clair. Sans décision judiciaire ni arbitrage politique tranché, le risque d’enlisement est réel. L’avenir du PDG dépend désormais des choix stratégiques de la transition. Implosion ou mue contrôlée : le sort de l’ancien parti unique en dira long sur l’avenir institutionnel du Gabon.
Découvrez les autres actualités que nous suivons aujourd’hui sur RADIOTAMTAM.ORG. Le journalisme au service de la démocratie : Votre soutien fait la différence.
AFRIQUE CENTRALE RDCONGO SELON LE MONDE : La RDC et le groupe armé M23 signent une déclaration de principes pour un cessez-le-feu, au Qatar. Le groupe armé M23, soutenu par le Rwanda, et Kinshasa ont signé samedi 19 juillet au Qatar une déclaration de principes comprenant un engagement pour un cessez-le-feu permanent, saluée comme une « avancée » significative pour la paix dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC). Cette région riche en minerais est en proie aux conflits depuis plus de trente ans et de précédents accords de paix et cessez-le-feu ont été conclus puis violés ces dernières années. Le M23, qui s’est emparé de villes stratégiques – dont Goma et Bukavu – lors d’un offensif éclair en janvier et février, avait insisté pour négocier son propre accord de cessez-le-feu avec Kinshasa, après que son allié rwandais a signé un accord de paix à Washington en juin…Les parties se sont engagées à mettre en œuvre les dispositions de la déclaration « au plus tard le 29 juillet 2025 ». Le texte énonce l’engagement d’entamer « au plus tard le 8 août 2025 » des négociations formelles en vue d’un accord de paix global qui doit être signé « au plus tard le 18 août 2025 »…Les négociations pour un accord de paix entre Kinshasa et le M23 s’inscriront dans le cadre du texte signé fin juin entre la RDC et le Rwanda, selon la déclaration de principes…Une rencontre entre M. Tshisekedi et son homologue rwandais, Paul Kagame, doit avoir lieu dans les prochains mois.
AFRIQUE CENTRALE ENCORE LA RDCONGO SELON RADIO OKAPI : RDC : Insécurité à Mambasa : la société civile appelle à la collaboration civilo-militaire. La société civile du Congo a exhorté, le week-end dernier, les populations des chefferies de Babila Babombi et Babila Bakwanza, territoire de Mambasa (Ituri) à coopérer avec l’armée et à s’abstenir de groupes armés pour restaurer la paix dans ce coin du pays. « Sans collaboration entre les autorités et la population, il n’y aura pas de bons résultats », a fait savoir la responsable locale de cette structure citoyenne, Marie Noëlle Anotane. Elle a également appelé la coalition FARDC-UPDF à renforcer leur présence dans ces chefferies encore marquées par la présence des rebelles ADF. Cet activiste des droits de l’homme se félicite tout de même de l’accalmie observée depuis plusieurs mois dans les chefferies de Bombo et Bandaka. Une embellie qu’elle attribue aux efforts de nouvelles autorités militaires à la tête de la 31e brigade des FARDC, basée à Mambasa-centre. Cette accalmie est perçue comme un signe encourageant de stabilisation sécuritaire, résultat d’un travail soutenu de l’armée sur le terrain. La société civile promet son soutien aux nouvelles autorités militaires, tout en appelant à plus de vigilance, face à la menace persistante dans d’autres zones encore instables. « L’ennemi de la paix, lui aussi observe. Lorsqu’il y a accalmie, il change de stratégie pour perturber la quiétude de la population », a conclu Marie Noëlle Anotane.
AFRIQUE DE L’OUEST BURKINA FASO SELON RFI : Burkina Faso: des commerçants disparus réapparaissent au front dans des vidéos. Au Burkina Faso, plusieurs commerçants ont été enlevés à Ouagadougou ces derniers jours après avoir critiqué une opération du ministère du Commerce contre la hausse des prix des motos sur les marchés. Après leur disparition, deux de ces commerçants sont réapparus quelques jours plus tard dans des vidéos en tenue militaire, présentant leurs excuses au gouvernement. Au Burkina Faso, tout a commencé lorsque le ministère du Commerce a effectué un contrôle des prix de vente des motos chez plusieurs commerçants durant lequel il a constaté plusieurs irrégularités comme l’origine douteuse des véhicules ou l’absence de documents légaux comme les factures d’achat. Face au manque d’informations fiables, le ministère a décidé de fermer plusieurs magasins et de saisir des marchandises. Peu de temps après, face caméra, des commerçants de la capitale ont exprimé leur mécontentement et dénoncé l’incapacité des ministres du Commerce et des Transports à assumer leurs fonctions. Dans la vidéo, ils demandent leur démission sous les acclamations de la foule. Quelques heures plus tard, au moins six de ces commerçants ont été portés disparus, selon leurs proches. Samedi, deux d’entre eux ont réapparu dans des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux. En tenue militaire, les bras croisés, ils présentent leurs excuses aux membres du gouvernement. « J’ai agi sous l’effet de la foule. Je regrette ce que j’ai dit. Je demande aux Burkinabè de soutenir nos autorités », dit l’un…Pour le moment, aucune nouvelles des autres commerçants enlevés. Le ministère du Commerce a donné un délai d’un mois aux commerçants pour se conformer à la nouvelle réglementation.
AFRIQUE DE L’OUEST NIGERIA SELON AFRICANEWS : Nigeria : au moins 9 morts dans des violences dans le nord-ouest. Nouvelle attaque meurtrière dans l’État de Zamfara, dans le nord-ouest du Nigeria. Au moins neuf personnes auraient été tuées vendredi, selon des témoignages de riverains et des responsables locaux. Plusieurs villageois ont également été enlevés. La région est l’un des épicentres de la violence dans le pays. Depuis plusieurs années, des gangs armés qualifiés de “bandits” par les autorités y mènent des attaques récurrentes : pillages, enlèvements contre rançon et meurtres. Les autorités nigérianes peinent à contenir ces violences qui ont déjà causé des milliers de morts et déplacé des dizaines de milliers de personnes. Les routes, sont devenues si dangereuses que certains villages restent totalement isolés. En juin, plus d’une centaine de membres d’un gang criminel ont été tués lors d’affrontements avec des forces de défenses locales soutenues par le gouvernement dans l’Etat de Zamfara. Ils n’ont toutefois pas réussi à neutraliser leur chef, Bello Turji, connu pour ses atrocités.
AFRIQUE DE L’EST KENYA SELON LE MONDE : Au Kenya, le célèbre militant des droits humains Boniface Mwangi accusé d’avoir « facilité des activités terroristes » par le pouvoir. Le défenseur des droits humains kényan, Boniface Mwangi, a été accusé au lendemain de son arrestation d’avoir « facilité des activités terroristes » lors de manifestations récentes, a déclaré dimanche 20 juillet la Direction des enquêtes criminelles (DCI) de la police locale. Plusieurs dizaines d’organisations et de défenseurs des droits humains ont critiqué cette accusation, dénonçant une « instrumentalisation manifeste du système judiciaire pour écraser la dissidence ». « Ce qui a commencé comme une persécution ciblée de jeunes manifestants exigeant des comptes s’est transformé en une attaque à grande échelle contre la démocratie kényane », ont accusé ces organisations dans un communiqué…Selon des défenseurs des droits humains, au moins 19 personnes ont été tuées ce jour-là. Des centaines d’autres avaient été arrêtées, parmi lesquelles 37 sont poursuivies pour « terrorisme ». L’arrestation de M. Mwangi a suscité une pluie de condamnations et d’appels à sa libération. Après son arrestation, le militant a été escorté à son bureau à Nairobi, où des disques durs, des ordinateurs portables, des chéquiers ainsi que deux grenades lacrymogènes ont notamment été saisis, a affirmé la DCI.
AFRIQUE DE L’OUEST LIBERIA SELON TV5 MONDE : Libéria : bientôt un tribunal pour juger les crimes de guerre des années 1990. Une campagne nationale de sensibilisation et de consultation publique a été lancée samedi 19 juillet au Liberia, pour préparer la création d’un tribunal hybride chargé de juger les crimes de la guerre civile. Les victimes le réclament depuis la fin des atrocités, il y a plus de vingt ans. Environ 250000 personnes ont perdu la vie lors des deux guerres civiles qui ont déchiré ce pays ouest-africain anglophone entre 1989 et 2003. Un tribunal pour juger les crimes de guerre devrait être créé en 2027, tandis qu’un autre tribunal anti-corruption devrait être lancé en novembre 2026, selon la rapporteuse de la cérémonie, Kanree Wright. Samedi 19 juillet, le Bureau pour l’établissement d’un tribunal pour les crimes de guerre et les crimes économiques (OWECC) a lancé à Monrovia une campagne pour sensibiliser les populations sur la création du tribunal. La cérémonie s’est déroulée en présence de plusieurs organisations des droits humains ainsi que des représentants de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et de centaines de personnes. Cette campagne vise à préparer les Libériens sur le fonctionnement de ces tribunaux ainsi que sur les modalités de participations des citoyens aux jugements en vue. Elle devrait s’étendre dans les 15 régions du pays et se poursuivre jusqu’à la mise en place des deux tribunaux.
Chers auditeurs de RADIOTAMTAM AFRICA,
Les politiques changent, mais les faits perdurent.
RADIOTAMTAM AFRICA, c’est la voix d’un journalisme libre, précis et indépendant, qui informe l’Afrique et sa diaspora en toute autonomie, sans langue de bois ni censure.
Pourquoi soutenir RADIOTAMTAM AFRICA ?
Votre don rend possible :
✅ La diffusion quotidienne de nos émissions, accessibles à tous
✅ Le paiement de notre connexion Internet pour les directs
✅ Le loyer de notre studio basé à Bezons (Val-d’Oise, France)
✅ Le travail de nos rédacteurs, animateurs, programmateurs
✅ Le maintien d’une radio gratuite, panafricaine, engagée
Avantages fiscaux pour vos dons :
Particuliers : 66 % déductibles (dans la limite de 20 % du revenu imposable)
Entreprises : 60 % déductibles (dans la limite de 5 % du chiffre d’affaires HT)
Faites un don aujourd’hui pour faire vivre un média libre :
www.radiotamtam.org
Flashez le QR code sur nos visuels officiels !
✨ Message fort à la diaspora – Attendre… jusqu’à s’oublier soi-même.
Ce squelette, seul au milieu de l’océan, n’est pas qu’une image étrange.
C’est le miroir silencieux de ceux qui attendent trop longtemps.
Trop fort. Trop seuls.
Attendre qu’on les sauve.
Attendre que les choses changent.
Attendre un signe, une réponse, une reconnaissance…
Et pendant ce temps, la vie passe.
Les vagues défilent.
Et eux, figés, se consument lentement.
Moralité ?
N’attends pas éternellement.
Le moment parfait n’existe pas.
Fais un pas, même dans l’obscurité.
Car rester immobile,
c’est déjà mourir un peu.
WhatsApp direct : +33 6 99 94 20 39
YouTube : Abonnez-vous pour nos formats exclusifs
Discord : Rejoignez notre communauté panafricaine engagée
Merci pour votre force, votre fidélité, votre amour.
Ensemble, faisons résonner la Voix de l’Afrique dans le monde.
✍ Félicité Amaneyâ Râ VINCENT
BEZONS – RADIOTAMTAM AFRICA
Se connecter Inscription