©Revue de presse des médias africains – 19 février 2025 REVUE DE PRESSE 19 février 2025
19 février 2025 - 14:55 - 1329vues
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✍ Par Félicité Amaneyâ Râ VINCENT
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AFRIQUE CENTRALE GABON SELON RADIOTAMTAM AFRICA GABON : Subvention 2025 à la presse : les travaux sont officiellement terminés ! Après une attente prolongée depuis la fin de l’année 2024, la Commission de répartition de la subvention destinée à la presse écrite et en ligne a achevé ses travaux ce lundi 17 février 2025. L’ouverture officielle de cette session avait été présidée par la ministre de la Communication et des Médias, Laurence Ndong, en présence des représentants de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), de l’UNESCO, de la Primature, ainsi que des principaux acteurs du secteur médiatique.
Un engagement pour plus de transparence et d’équité
Dans son discours inaugural, Laurence Ndong a rappelé les principes fondamentaux qui ont guidé ces travaux :
« Les plus hautes autorités qui nous ont fait confiance attendent de nous que ces travaux se déroulent dans un esprit de transparence et d’équité. C’est d’ailleurs ce qui justifie la présence parmi nous de nos partenaires traditionnels que sont l’UNESCO et l’OIF. Sur ce, je déclare ouverts les travaux de la commission de répartition d’aide à la presse. »
L’objectif principal de cette commission était d’examiner avec minutie les candidatures déposées par près d’une centaine d’organes de presse et de sélectionner les bénéficiaires les plus méritants selon des critères précis.
Des critères stricts pour une répartition équitable
Pour être éligibles à cette subvention, les médias devaient satisfaire à plusieurs critères techniques et professionnels. Marion Lewagha, rapporteuse de la Commission, a précisé ces exigences :
« Pour prétendre à cette aide, les médias doivent disposer d’une équipe rédactionnelle performante comprenant au moins deux journalistes professionnels détenteurs de la carte de presse, ainsi qu’un correcteur ou un secrétaire de rédaction justifiant d’au moins trois ans d’expérience. Ils doivent également être équipés en matériel de rédaction et justifier d’un contrat d’hébergement valide pour les médias en ligne. »
Un budget revu à la hausse pour 2025
Cette année, l’enveloppe budgétaire consacrée à l’aide à la presse a connu une augmentation significative. Initialement plafonnée à 150 millions de FCFA sous le régime d’Ali Bongo Ondimba, elle a été portée à 500 millions de FCFA, conformément à l’engagement pris par le président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, le 2 septembre 2023.
Dans le passé, après application des prélèvements légaux, seulement 127 millions de FCFA étaient effectivement alloués aux médias. En effet, 15 % du budget total étaient réservés au Trésor public, tandis qu’un maximum de 10 % était alloué au fonctionnement de la Commission. Cette année, avec l’augmentation du budget, la somme à répartir entre les médias dépasse 400 millions de FCFA.
Un soutien essentiel pour la presse gabonaise
Lors des éditions précédentes, plus d’une cinquantaine de médias avaient bénéficié de cette aide, avec un versement des fonds effectué avant la fin de l’année. L’édition 2025 ne fait pas exception, et la Commission a veillé à ce que la distribution soit transparente et équitable, garantissant ainsi un soutien solide au paysage médiatique national.
Les travaux de la Commission étant désormais achevés, la liste définitive des bénéficiaires sera prochainement publiée, assurant une redistribution conforme aux attentes des professionnels du secteur.
Restez informés sur l’évolution de cette subvention et son impact sur les médias gabonais !
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AFRIQUE CENTRALE RDCONGO SELON LE MONDE : Guerre en RDC : des combattants du M23 sont entrés dans le centre de Bukavu. Des colonnes de combattants du M23, alliés à des troupes rwandaises, sont entrées, dimanche 16 février, dans le centre de Bukavu, grande ville de l’est de la République démocratique du Congo (RDC)…Le groupe armé antigouvernemental était entré, vendredi soir, dans les quartiers périphériques de la capitale du Sud-Kivu, peu après avoir pris le contrôle de l’aéroport provincial situé à une trentaine de kilomètres. La chute de la cité d’un million d’habitants, tombée sans résistance de la part des forces armées congolaises (FARDC), donne au M23 et son allié rwandais le contrôle total du lac Kivu, après la prise fin janvier de Goma, capitale de la province voisine du Nord-Kivu…L’essentiel des forces armées congolaises avait quitté Bukavu, vendredi, abandonnant des armes qui ont été récupérées par des civils et des bandits. Après le départ des autorités militaires et civiles, la ville a été livrée aux pillages à la tombée de la nuit et toute la journée de samedi. Des groupes de bandits ou de miliciens, la plupart en civil, circulaient encore dans les rues de Bukavu dans la nuit de samedi à dimanche, pillant des boutiques, tandis que la grande majorité des habitants sont restés terrés chez eux.
AFRIQUE CENTRALE ENCORE LA RDCONGO SELON LE MONDE : Près de 10 000 réfugiés de RDC seraient passés au Burundi en trois jours. Le Burundi a annoncé, lundi 17 février, que près de 10 000 personnes avaient trouvé refuge sur son territoire ces trois derniers jours, après avoir fui l’est de la République démocratique du Congo (RDC) face aux avancées des combattants du Mouvement du 23 mars (M23), groupe rebelle allié à des troupes rwandaises. « Ceux qui fuient passent par la frontière officielle de Gatumba ou traversent la rivière Rusizi », a déclaré le ministère de l’intérieur burundais, Martin Niteretse, dans un communiqué. Des mesures sont prises pour identifier les soldats, les civils et les malades parmi les réfugiés et leur fournir un abri avec l’aide de l’Agence des Nations unies pour les réfugiés (HCR), a-t-il ajouté… « Ces Congolais ont eu peur et ont sauté dans la rivière pour fuir la guerre, mais nous essayons de les rassurer », avait-il ajouté. Vendredi, le Burundi avait brièvement fermé sa frontière avec l’est de la RDC pour endiguer le flux de réfugiés.
AFRIQUE DE L’OUEST MALI SELON JEUNE AFRIQUE : Mali : l’armée et les mercenaires de Wagner mis en cause dans la mort d’une vingtaine de civils. Parmi les victimes de l’attaque dans la région de Gao, de nombreuses personnes migrantes prêtes à rejoindre l’Algérie clandestinement. Lundi 17 février à l’aube, leurs véhicules ont été attaqués par des militaires de l’armée malienne et des mercenaires de Wagner dans le nord du Mali, d’après des sources locales. Une vingtaine de voyageurs ont été tués. « Le chauffeur du premier véhicule est mon cousin. Le 16 février, il a quitté Gao chargé d’aventuriers [des candidats à l’émigration clandestine] et de nomades », a assuré un habitant à l’AFP, sous couvert d’anonymat…« Il y a eu plusieurs morts dans le deuxième véhicule aussi », a poursuivi ce proche d’une des victimes, s’appuyant sur le témoignage d’un rescapé du véhicule en question. « Quand mon cousin a quitté Gao, il y avait 15 personnes dans son véhicule. Mais généralement, il prend des passagers en chemin », a-t-il précisé. Un élu de la région de Gao a confirmé à l’AFP la mort d’au moins 20 personnes.
AFRIQUE DE L’OUEST ENCORE LE MALI SELON LE MONDE : Au Mali, au moins 48 morts dans l’effondrement d’une mine d’or
Au moins quarante-huit personnes sont mortes, samedi 15 février, dans un effondrement sur le site d’une mine d’or exploitée illégalement au Mali, ont fait savoir plusieurs sources locales à l’Agence France-Presse (AFP). Le pays, parmi les plus pauvres du monde, est aussi l’un des premiers producteurs d’or en Afrique…De tels accidents sur des sites d’orpaillage endeuillent régulièrement le Mali et l’Afrique de l’Ouest. Selon un responsable local contacté au téléphone par l’AFP, « le drame a eu lieu à Bilaly Koto ». « Les victimes sont pour la plupart des femmes », a-t-il poursuivi. Le site avait été exploité par une entreprise chinoise, avant d’être abandonné. De nombreux orpailleurs artisanaux s’y rendaient dans l’espoir de trouver de l’or…Il y a un peu plus d’un an, un éboulement avait fait plus de soixante-dix morts dans une mine d’or du sud du Mali. A la fin de janvier, au moins une dizaine d’orpailleurs ont été tués, majoritairement des femmes, à la suite de l’effondrement d’une mine également dans la partie méridionale du pays.
AFRIQUE DE L’OUEST SAHEL SELON LE MONDE : Au Sahel, les campagnes de vaccination entravées par les groupes djihadistes et les régimes militaires. Au Mali, au Niger et au Burkina Faso, la destruction des infrastructures de santé, les restrictions apportées au travail des humanitaires et le déplacement des populations ont rendu difficile le maintien des programmes de vaccination de routine…Les groupes islamistes ou djihadistes s’opposent souvent [aux campagnes de vaccination] à cause des barrières religieuses, nourries parfois par un rejet de l’Occident et de sa lutte contre le terrorisme, indique une étude publiée fin janvier dans la revue BMJ Global Health et intitulée « Les implications du conflit sur la vaccination au Sahel »…Aux violences des groupes armés s’ajoutent les entraves des juntes sahéliennes. Le Mali, le Niger et le Burkina Faso, dirigés par des régimes militaires issus de coups d’Etat entre 2020 et 2023, exercent une pression accrue sur les ONG, y compris humanitaires…Plusieurs organisations humanitaires ont renoncé à se rendre dans des zones risquées, prises en étau entre les groupes armés et les juntes sahéliennes…La perturbation des campagnes de vaccination a entraîné une accumulation du nombre d’enfants ayant reçu zéro dose ou peu immunisés.
AFRIQUE DE L’OUEST BENIN SELON VOAAFRIQUE : Six soldats et 17 assaillants tués dans un parc national béninois. « Six hommes » sont morts, ainsi que « dix-sept (assaillants) » dans cette attaque survenue samedi après-midi dans le parc du W, a notamment indiqué à l’AFP un haut responsable de l’armée, qui souhaite garder l’anonymat. Les attaques ont augmenté ces dernières années dans le nord du pays et sont attribuées par les autorités à des combattants jihadistes du groupe Etat islamique (EI) et d’Al-Qaïda, venus des pays voisins où ils prospèrent. La région frontalière avec le Burkina Faso reste pour le moment l’épicentre de ces attaques. En janvier, au moins 28 soldats béninois ont été tués dans un attentat revendiqué par les jihadistes du Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM, ou Jama’at Nusrat al-Islam wal Muslimeen, JNIM en arabe), dans le nord du pays, à la frontière avec le Niger et le Burkina Faso. C’est l’une des attaques les plus meurtrières contre l’armée béninoise depuis plusieurs années. Fin juillet, cinq gardes forestiers et sept soldats avaient déjà été tués dans le parc national du W…En janvier 2022, le Bénin avait déployé près de 3.000 soldats pour sécuriser ses frontières dans le cadre de l’opération « Mirador ». L’armée a également recruté 5.000 soldats supplémentaires pour renforcer la sécurité dans le nord.
AFRIQUE OCEAN INDIEN DJIBOUTI SELON LE MONDE : Le Djiboutien Mahamoud Ali Youssouf, nouveau président de la Commission de l’Union africaine. Après sept tours de vote, le Djiboutien Mahamoud Ali Youssouf a été élu, samedi 15 février, à la présidence de la Commission de l’Union africaine (UA) avec 33 voix sur 49 pays votants. Il succède au Tchadien Moussa Faki, qui, au terme de son second mandat, ne pouvait se représenter. Après avoir dirigé pendant vingt ans les affaires étrangères de Djibouti, petit Etat de la Corne de l’Afrique qui s’est construit une importance stratégique, ce diplomate sera le visage et la voix de l’institution panafricaine pour les quatre prochaines années…M. Youssouf s’est imposé face à deux candidats : Raila Odinga, 80 ans, ancien premier ministre kényan et vétéran de la politique africaine au carnet d’adresses bien fourni ; et Richard James Randriamandrato, ancien ministre des affaires étrangères de Madagascar…Les défis qui attendent désormais M. Youssouf à la tête de l’institution panafricaine sont nombreux et complexes. A commencer par la guerre dans l’est de la République démocratique du Congo, où les rebelles du M23, appuyés par le Rwanda, ont conquis vendredi Bukavu. Autre urgence sur laquelle le nouveau président de la Commission de l’UA est attendu : le Soudan.
AFRIQUE OCEAN INDIEN MAURICE SELON VOAAFRIQUE : L’ex-Premier ministre mauricien Pravind Jugnauth libéré sous caution. Un tribunal a libéré dimanche sous caution l’ancien Premier ministre mauricien Pravind Jugnauth, au pouvoir de 2017 à 2024, arrêté la veille dans le cadre d’une enquête pour blanchiment d’argent. Les policiers ont interpellé samedi l’ancien chef de gouvernement, âgé de 63 ans, et sa femme Kobita Jugnauth, avant de les interroger pendant plusieurs heures, ont indiqué à l’AFP des sources policières…Membre d’une dynastie qui a dominé la politique mauricienne depuis l’indépendance obtenue du Royaume-Uni en 1968, M. Jugnauth avait reconnu en novembre sa défaite aux législatives face à l’Alliance du changement de centre-gauche menée par Navin Ramgoolam, chef du Parti travailliste âgé de 77 ans et ancien Premier ministre. M. Jugnauth avait supervisé début octobre un accord « historique » entre Maurice et Londres sur la souveraineté de l’archipel des Chagos, vu comme un succès majeur pour le gouvernement mauricien après plus d’un demi-siècle de litige. Le texte prévoit toutefois que « pendant une période initiale de 99 ans », Londres sera « autorisé à exercer des droits souverains » sur la base militaire américaine qui s’y trouve, sur l’île de Diego Garcia.
AFRIQUE DE L’EST SOUDAN DU SUD SELON RFI : Soudan du Sud: des affrontements inquiétants entre l’armée et les forces de Riek Machar. Au Soudan du Sud, des combats ont eu lieu ces dernières semaines dans plusieurs régions du pays entre l’armée sud-soudanaise, dirigée par le président Salva Kiir, et les forces de l’opposition, loyales au vice-président Riek Machar. Tous deux sont signataires de l’accord de paix de 2018, qui avait mis fin à la guerre civile débuté en 2013. Mais la multiplication des incidents sécuritaires ne rassure pas. Les derniers combats dans le village de Nasir, au nord-est du pays, ont fait fuir la population. Chaque camp donne sa version. Le porte-parole de l’armée sud-soudanaise du président Salva Kiir accuse les forces armées de l’opposition de « constamment inciter les jeunes armés ». Mais le commissaire du comté de Nasir, membre du parti Riek Machar, accuse l’armée sud-soudanaise d’avoir « lancé une attaque sur des civils dans le marché, provoquant de lourds combats » a-t-il déclaré…Les combats de Nasir rappellent l’urgence de l’application de l’accord de paix de 2018, qui prévoit la création de forces armées unifiées de plus de 80 000 soldats.
AFRIQUE DU NORD TUNISIE DU SUD SELON RFI : Tunisie: l’opposante Abir Moussi présentée à un juge après une brève hospitalisation. En Tunisie, l’opposante Abir Moussi a été brièvement hospitalisée, dimanche 16 février au soir, après six jours de grève de la faim. Emprisonnée depuis octobre 2023 et condamnée en novembre à seize mois de prison pour avoir critiqué le processus électoral, la présidente du Parti destourien libre est l’une des figures de l’opposition au régime de Kaïs Saïed. Déjà condamnée pour avoir critiqué le processus électoral, Abir Moussi risque encore vingt ans de prison supplémentaire dans le cadre d’autres affaires, dont une dans laquelle elle est accusée d’avoir voulu porter atteinte au gouvernement. Lundi, à peine sortie de l’hôpital, elle s’est présentée devant le juge à une audience où elle était convoquée au Tribunal de première instance de Tunis…Présidente d’un parti politique qui rassemble encore de nombreux sympathisants dans la rue, Abir Moussi est connue en Tunisie pour son franc-parler en politique et son opposition fréquente aux islamistes lorsqu’elle était députée entre 2019 et 2021. Sa situation actuelle a suscité la réaction des associations féministes qui ont dénoncé lundi son transfert dans une autre prison pour femmes, à soixante kilomètres de Tunis. Elles ont également exprimé leur solidarité. Le verdict dans le cadre de l’affaire pour laquelle était jugée Abir Moussi ce lundi sera prononcé le 24 février prochain.
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