© Revue de presse des médias africains du 15 avril 2025 REVUE DE PRESSE 15 avril 2025

15 avril 2025 - 16:20 - 668vues
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✍ Par Félicité Amaneyâ Râ VINCENT,
La Voix de l’Afrique en Mouvement
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AFRIQUE CENTRALE GABON SELON RADIOTAMTAM AFRICA : Subvention à la presse gabonaise : 400 millions de FCFA et une polémique persistante. À l’approche des élections présidentielles de 2025, une vague de controverses entoure la subvention accordée à la presse écrite et en ligne par l’État gabonais. Une enveloppe de près de 400 millions de FCFA a été allouée sous la responsabilité de Laurence Ndong, ministre de la Communication et des Médias. Mais sa gestion est aujourd’hui remise en question.
Dans les coulisses du secteur médiatique, plusieurs voix s’élèvent pour dénoncer une répartition jugée opaque et inéquitable. Les principaux acteurs de la presse en ligne s’interrogent : où est réellement allé cet argent ? Une question d’autant plus pressante que les conditions de travail des journalistes restent précaires, et que cette aide, tant espérée, représentait un souffle d’espoir pour de nombreux organes fragilisés.
Certains accusent la ministre d’avoir favorisé une pseudo-coalition reçue au ministère sans consultation préalable de leurs confrères. Une démarche perçue comme illégitime, voire entachée de soupçons de corruption, comme le rapporte Le Mbandja dans son édition du 14 avril 2025.
De nombreux directeurs de presse et éditeurs disent s’être sentis lésés, ignorés, voire trahis. Face à cette frustration, ils ont préféré attendre la fin du processus électoral pour relancer publiquement le débat, estimant que la question mérite d’être traitée avec la plus grande transparence.
Pourquoi une subvention censée soutenir un secteur aussi vital que la presse déclenche-t-elle autant de remous ? C’est la question que posent désormais plusieurs rédactions, d’autant que beaucoup d’entre elles ont volontairement fait preuve de retenue durant la période électorale, contribuant ainsi au bon déroulement du scrutin.
Il appartient désormais aux autorités, et notamment au président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, qui a fait de la dignité des professionnels des médias un axe fort de son mandat, de rétablir la confiance au sein du secteur.
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AFRIQUE DE L’OUEST NIGERIA SELON AFRICANEWS : Nigéria : au moins 51 morts dans une attaque par un groupe armé. Au moins 51 personnes ont été tuées par des hommes armés dans la nuit de lundi soir à Maiduguri dans l’État de Plateau, au nord du Nigeria. Les faits sont est rapportés par des habitants et Amnesty International. Des des affrontements meurtriers survenus deux semaines auparavant dans une autre région de l’État avaient déjà fait des dizaines de morts. La semaine dernière, l’agence nationale de gestion des urgences a déclaré que des hommes armés avaient tué au moins 52 personnes et provoqué le déplacement de près de 2 000 autres personnes, bilan de plusieurs jours d’attaques dans le Plateau. Cette région est réputée pour les violences entre agriculteurs et éleveurs de bétail.
AFRIQUE DE L’EST SOUDAN SELON BBC : La BBC fait entrer clandestinement des téléphones dans la ville assiégée du Soudan pour révéler la faim et la peur. […] Alors que Mostafa était bénévole dans un centre d’accueil pour personnes déplacées, la zone a fait l’objet d’attaques intenses. Il a continué à filmer en se cachant, tressaillant à chaque explosion. « Il n’y a pas d’endroit sûr à El-Fasher », dit-il. « Même les camps de réfugiés sont bombardés par des obus d’artillerie ». « La mort peut frapper n’importe qui, n’importe quand, sans avertissement… par une balle, un bombardement, la faim ou la soif ».… Les Nations unies ont mis en garde contre la famine dans la ville, ce qui s’est déjà produit dans le camp voisin de Zamzam, qui accueille plus de 500 000 personnes déplacées. De nombreuses personnes ne peuvent pas se rendre au marché « et si elles y vont, elles y trouvent des prix élevés », explique Manahel. « Toutes les familles sont égales maintenant – il n’y a pas de riches ou de pauvres. Les gens n’ont pas les moyens de se procurer les produits de première nécessité, comme la nourriture ».… Depuis le début du siège il y a un an, près de 2 000 personnes ont été tuées ou blessées à El-Fasher, selon l’ONU. Après le coucher du soleil, les gens sortent rarement de chez eux. Le manque d’électricité peut rendre la nuit effrayante pour une grande partie du million d’habitants d’El-Fasher. Les personnes qui utilisent l’énergie solaire ou des piles ont peur d’allumer les lumières car elles « pourraient être détectées par les drones », explique Manahel.
AFRIQUE DE L’EST ENCORE LE SOUDAN SELON LE MONDE : Le Soudan, victime de l’avidité de puissances extérieures. Depuis le début de la guerre au Soudan il y a deux ans, plusieurs pays étrangers sont parties prenantes au conflit, et n’ont aucun intérêt à ce qu’il cesse. Au risque d’un morcellement du pays. C’est un immense pays aux huit frontières qui se désintègre lentement. Au carrefour du Sahel et de la Corne de l’Afrique, bordé par le mer Rouge, le Soudan est un maillon stratégique négligé dans une région à l’équilibre précaire. La guerre qui s’y déroule loin des radars, presque à huis clos, pourtant alimentée par un réseau complexe d’alliances internationales, pourrait bien finir par menacer la stabilité régionale. Vous pouvez partager un article en cliquant sur les icônes de partage en haut à droite de celui-ci. Alors que le Royaume-Uni accueille, mardi 15 avril, une conférence sur le Soudan coprésidée par la France à l’occasion du deuxième anniversaire du déclenchement du conflit, la question des interventions étrangères est revenue sur la table. L’impartialité de l’événement a été remise en cause par le ministre des affaires étrangères soudanais, Ali Youssef, protestant contre l’invitation à Londres de représentants des Emirats arabes unis, du Tchad et du Kenya, jugés « parties prenantes dans la guerre ». Diplomatiquement, les Forces armées soudanaises (FAS) dirigées par le général Al-Bourhane sont à couteaux tirés avec les Emirats arabes unis. La junte installée à Port-Soudan a saisi la Cour internationale de justice accusant Abou Dhabi d’avoir enfreint la convention des Nations unies pour la prévention et la répression du crime de génocide en soutenant politiquement, économiquement et militairement la milice paramilitaire des Forces de soutien rapide (FSR) menée par son rival, le général Mohammed Hamdan Daglo, alias « Hemetti ».
AFRIQUE CENTRALE RDCONGO SELON RADIO OKAPI : Le M23 mène une opération de ratissage à Mutao près du parc des Virunga. Les rebelles du M23, soutenus par le Rwanda, ont mené, lundi 14 avril, une opération de ratissage dans la localité de Mutao (groupement Kibati, territoire de Nyiragongo), en bordure du parc national des Virunga, au Nord-Kivu, selon des sources locales. Des témoins rapportent que les assaillants ont détruit des habitations appartenant à des civils soupçonnés d’avoir abrité des combattants Wazalendo, ces milices locales alliées aux Forces armées de la RDC (FARDC). Les accrochages quasi quotidiens entre les patrouilles du M23 et les différents groupes armés locaux s’intensifient dans cette zone stratégique. Des sources concordantes dans la région déplorent que les combats récurrents affectent l’ensemble de la zone frontalière nord des groupements Rusayu, Kibati et Muja, et qu’ils s’étendent parfois en profondeur dans l’aire protégée du parc des Virunga. Cette situation a entraîné une perte de contrôle de l’Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN) sur le secteur, désormais sous l’influence des groupes armés. La population civile subit une double pression : l’impossibilité d’accéder à ses champs situés dans le parc et le pillage systématique des récoltes par les belligérants. Les défenseurs de l’environnement alertent sur la dégradation accélérée de cette biodiversité unique des Virunga, dorénavant transformée en zone de conflit
AFRIQUE CENTRALE ENCORE LA RDCONGO SELON DW : En RDC, une proposition de fédéralisme fait débat. Olivier Kamitatu, directeur de cabinet et porte-parole de Moïse Katumbi, figure de l’opposition, suggère un système fédéral articulé autour de cinq vastes régions.Ce système permettrait, selon lui, à ces régions une plus grande autonomie dans la gestion de leurs ressources naturelles et l’élaboration de politiques adaptées à leurs spécificités économiques, sociales et culturelles. Cette sortie médiatique d’Olivier Kamitatu intervient quelques mois après la déclaration du président de la République, Félix Tshisekedi, concernant une possible révision de l’actuelle Constitution adoptée par le référendum des 18 et 19 décembre 2005 puis promulguée le 18 février 2006 par le président Joseph Kabila. Cette prise de position suscite un vif débat au sein de la classe politique et sociale congolaise. Certains opposants interprètent cette idée comme une tentative de maintien au pouvoir du président Félix Tshisekedi.
AFRIQUE CENTRALE TCHAD SELON RFI : Tchad: comment interpréter la dégradation militaire d’un général cousin du président?. Au Tchad, un parent très proche du président du pays a été dégradé du rang de général 5 étoiles à celui de simple soldat 2e classe, une décision qui a surpris. Dans un message vocal, Abdelrahim Bahar Mahamat Itno a qualifié le pouvoir de corrompu et appelé les membres de sa famille à le renverser. Mais ce n’est pas la première fois qu’un membre du clan défie Mahamat Idriss Déby Itno et est sanctionné.… Une conséquence de la crise qui traverse le clan au pouvoir et des tensions dues à la guerre civile au Soudan, selon des spécialistes du pays.
AFRIQUE DE L’OUEST MALI SELON LE MONDE : Mahmoud Dicko, l’imam qui fait peur aux putschistes maliens. L’affaire a suscité une crise majeure et inédite entre Alger et Bamako. Dans la nuit du 31 mars au 1er avril, un drone malien qui survolait la zone frontalière de Tin Zaouatine a été abattu par l’armée algérienne. Depuis cet incident, dont chaque camp renvoie la responsabilité sur l’autre, la tension n’a jamais été aussi forte entre les deux voisins, pourtant habitués aux escarmouches. En coulisses, loin des sables de leur frontière saharienne, un autre sujet crispe la relation : l’exil à Alger, depuis décembre 2023, de l’imam Mahmoud Dicko, considéré par beaucoup comme un des opposants les plus sérieux à la junte du général Assimi Goïta. Ce religieux, figure phare et respectée au Mali, assume volontiers jouer un rôle politique. Populaire, il est aussi capable de soulever les foules. Le 14 février, l’annonce de son possible retour à Bamako avait fait trembler les militaires au pouvoir. La veille, une note du ministère de la sécurité l’accusait de s’être livré à des « activités subversives » en Algérie, ouvrant ainsi la voie à une possible interpellation à sa descente d’avion. Elle avait aussi sommé la police de prendre « toutes les mesures sécuritaires nécessaires pour empêcher tout regroupement » sur la voie publique dans la capitale.
AFRIQUE FRANCE/ALGERIE SELON BBC : L’Algérie expulse 12 fonctionnaires de l’ambassade de France. L’Algérie a demandé à 12 membres du personnel de l’ambassade de France de quitter le pays dans les 48 heures, a déclaré le ministre français des Affaires étrangères. Jean-Noël Barrot a ajouté que cela était lié à l’inculpation de trois Algériens en France vendredi, dont l’un est un fonctionnaire consulaire. Ils sont accusés d’avoir participé à l’enlèvement, l’année dernière, d’Amir Boukhors, 41 ans, un critique virulent du gouvernement algérien qui jouit d’une audience de plus d’un million de personnes en ligne. Il aurait obtenu l’asile en France en 2023. M. Barrot a exhorté l’Algérie à « renoncer » aux expulsions et a déclaré que la France était prête à « réagir immédiatement » si elles se poursuivaient. Boukhors, également connu sous le nom d’Amir DZ, vit en France depuis 2016. Il a été enlevé en avril 2024 dans la banlieue sud de Paris et libéré le lendemain, selon son avocat Eric Plouvier.
AFRIQUE DU NORD SAHARA SELON APNEWS : Sahara : l’ONU appelle à capitaliser sur une solution politique. Le Conseil de sécurité des Nations Unies a tenu, lundi 14 avril, une réunion à huis clos sur la situation au Sahara, dans un contexte de plus en plus favorable à un règlement conforme à la souveraineté nationale du Maroc. La réunion du Conseil de sécurité de ce 14 avril a été marquée par une intervention attendue de l’envoyé personnel du Secrétaire général de l’ONU, Staffan de Mistura, exhortant les membres du Conseil à tirer parti de la dynamique actuelle en faveur d’une résolution politique, qualifiée d’« élan diplomatique inédit » en faveur d’une désescalade régionale et d’une sortie définitive du conflit. Dans son exposé, De Mistura a souligné que les trois prochains mois constituaient une fenêtre stratégique pour « produire une désescalade régionale et, séparément, une feuille de route redynamisée vers la résolution du conflit du Sahara ». Ce discours intervient dans un contexte de réalignements diplomatiques croissants en faveur de la solution d’autonomie proposée par le Maroc, jugée sérieuse, crédible et réaliste par de nombreuses capitales à travers le monde.
AFRIQUE DU NORD MAROC/FRANCE SELON AFRICANEWS : Maroc-France : création d’une équipe conjointe sur les migrations. Le ministre français de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a annoncé lundi la formation d’une équipe conjointe franco-marocaine chargée de déterminer la nationalité des migrants en situation irrégulière en France. L’objectif de ce dispositif est de faciliter leur réadmission dans leur pays d’origine. Cette déclaration a été faite lors d’une visite officielle à Rabat, qui s’est tenue les 13 et 14 avril, au cours de laquelle le ministre a souligné les progrès significatifs réalisés entre la France et le Maroc, particulièrement dans le domaine migratoire. Cette visite coïncide avec une amélioration des relations entre Paris et Rabat. Le ministre Retailleau a discuté d’un accord visant à renforcer la coopération concernant la réadmission des migrants expulsés, en proposant la création d’un « groupe de travail conjoint » pour déterminer si certains migrants irréguliers détiennent la nationalité marocaine.
AFRIQUE DU NORD MAROC SELON LE MONDE : Le Maroc sous le choc après le piratage de la Sécurité sociale : « Bienvenue en enfer où tout le monde sait combien gagne son voisin ! ». Dès 2020, un journal local avait rapporté l’existence d’une « inquiétante faille de sécurité » au sein de la CNSS, dont les dispositifs de protection n’ont pas su empêcher le vol et la diffusion, le 8 avril, des attestations de salaire d’environ 2 millions d’affiliés. Le service de messagerie Telegram a confirmé au Monde, dimanche 13 avril, avoir désactivé la chaîne « Jabaroot DZ » « dès qu’elle a été découverte » par ses modérateurs. Ouverte par un ou des hackers anonymes, celle-ci avait diffusé, mardi 8 avril, les attestations de salaire d’environ 2 millions d’affiliés au régime général de la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) du Maroc. Mais sa fermeture n’est intervenue que quatre jours après les fuites. Entre-temps, les documents dérobés ont pu être massivement consultés, ce qui a eu l’effet d’une déflagration dans les grandes entreprises concernées.
AFRIQUE LE SECTEUR DE L’ARGENT MOBILE EN AFRIQUE FRANCHIUNE ETAPE IMPORTANTE SELON DABAFINANNCE : L’Afrique dépasse le milliard de portefeuilles d’argent mobile avec 1 milliard de dollars échangés en 2024. L’utilisation de l’argent mobile en Afrique a doublé au cours des quatre dernières années, pour atteindre plus d’un milliard de comptes enregistrés d’ici à la fin de 2024. Le continent représente désormais 53 % de tous les portefeuilles d’argent mobile dans le monde et 56 % des utilisateurs actifs, 286 millions d’entre eux effectuant des transactions dans une fenêtre de 30 jours. Rien qu’en 2024, 81 milliards de transactions ont été traitées par 178 services sur le continent, pour un total de 1 000 milliards de dollars, soit une augmentation annuelle de 15 %.
Fin de la Revue de presse – Appel au soutien
Chères auditrices, chers auditeurs,
Notre rendez-vous quotidien s’achève ici,
mais l’actualité, elle, ne s’arrête jamais.
APPEL À LA DIASPORA AFRICAINE
« Je suis là pour l’Afrique… par amour pour l’Afrique. »
À vous, frères et sœurs de la diaspora,
À vous qui portez l’Afrique dans vos cœurs, même à mille lieues de ses terres rouges,
Il est temps.
Le temps de ne plus seulement regarder.
Le temps de ne plus seulement commenter.
Le temps d’AGIR.
Parce que les défis sont immenses, mais notre force l’est plus encore.
Parce que le continent a besoin de vous — de vos savoirs, de vos passions, de vos idées et de votre feu sacré.
Mettons la main dans la pâte, ensemble.
Construisons des écoles.
Finançons des médias libres.
Investissons dans l’agriculture, la santé, la culture, l’énergie.
Transmettons nos compétences, nos histoires, nos espoirs.
L’Afrique que nous voulons ne viendra pas d’ailleurs.
Elle naîtra de notre volonté, de notre union, de notre engagement à la servir par nous-mêmes et pour nous-mêmes.
Une vision lucide.
Une parole engagée.
Une invitation à bâtir, pierre après pierre, l’avenir de notre continent.
La diaspora n’est pas en exil. Elle est en mission.
Et cette mission commence maintenant.
Rejoignez le mouvement.
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L’Afrique vous regarde. L’Afrique vous attend.
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RADIOTAMTAM AFRICA – La parole est une force.
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