© Revue de presse des médias africains du 18 mars 2025 REVUE DE PRESSE 18 mars 2025

18 mars 2025 - 16:26 - 652vues
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À propos de Félicité Amaneyâ Râ VINCENT - Rédactrice en chef à RADIOTAMTAM AFRICA , Félicité s'engage à façonner la radio de demain pour une Afrique prospère, inspirante , et prête à illuminer le monde. Nous Contacter
✍ Par Félicité Amaneyâ Râ VINCENT
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Gardez votre emploi stable jusqu'à ce que votre entreprise génère des revenus équivalents. Quitter trop tôt peut être un risque financier majeur.
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Utilisez votre salaire pour financer progressivement votre projet. Construisez votre activité en dehors de vos heures de travail pour minimiser les risques.
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Créer une entreprise prend du temps. Résilience, apprentissage et ajustements seront nécessaires. Un revenu stable vous aidera à tenir sur la durée.
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Mettez de côté au moins 3 à 6 mois de dépenses avant de vous lancer à 100 %. Cette sécurité financière réduit la pression et permet de mieux affronter les imprévus.
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Ne foncez pas tête baissée ! Élaborez un plan d’affaires solide, évaluez les risques et testez votre projet avant de faire le grand saut.
L'entrepreneuriat est une aventure passionnante, mais elle demande de la préparation !
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AFRIQUE CENTRALE GABON SELON RADIOTAMTAM AFRICA : Débuts chaotiques pour le Rassemblement des Bâtisseurs : Une première conférence de presse sous tension. Le Rassemblement des Bâtisseurs (RDB) tenait, ce dimanche 16 mars 2025, sa toute première conférence de presse à son siège, au nord de Libreville. Présentée comme une occasion clé pour exposer les ambitions du mouvement et dialoguer avec la presse, cette rencontre a malheureusement viré au fiasco organisationnel. Retards inexpliqués, confusion, tensions et dérapages ont marqué ce premier face-à-face avec les médias.
⏳ Trois heures d’attente, et aucune excuse
Annoncée pour 12 heures, la conférence n’a finalement démarré qu’après plus de trois heures de retard, sans qu’aucune explication ni excuse ne soit formulée aux journalistes présents. Un faux départ qui frustre et décrédibilise l’événement dès son ouverture. Lassés par cette attente interminable, plusieurs membres de la presse ont préféré quitter les lieux, marquant ainsi leur mécontentement face à une organisation bancale.
Un meeting politique déguisé en conférence de presse ?
Ce qui devait être un échange ouvert avec les journalistes a rapidement pris des allures de meeting partisan. La salle, remplie de militants occupant les premiers rangs, s’est transformée en tribune d’acclamations, chaque intervention des leaders du mouvement étant systématiquement ponctuée d’applaudissements nourris.
Un dialogue constructif avec la presse ? Pas vraiment.
Loin d’un véritable question-réponse, l’événement a donné l’impression que les journalistes étaient perçus comme des opposants, plutôt que des acteurs de l’information. Une posture regrettable qui floute la distinction entre communication politique et transparence médiatique.
Activistes à la tribune : une dérive inquiétante
L’un des moments les plus surprenants de la rencontre a été l’intervention d’activistes prenant la parole à la place des journalistes. Cette confusion des rôles soulève une question fondamentale :
Depuis quand les activistes remplacent-ils les journalistes dans une conférence de presse ?
Pourquoi le RDB a-t-il permis cette prise de parole hors cadre ?
Ce glissement – où engagement militant et mission journalistique se confondent – pose un réel problème pour la liberté de la presse et la clarté du débat politique.
Un journaliste évincé : la goutte de trop
Mais le point culminant du désordre reste sans doute l'éviction d’un journaliste de Gabonmailsinfos, refusé d’accès sous prétexte d’une salle déjà pleine.
Interdire à un journaliste d’assister à une conférence de presse est une atteinte grave au droit à l’information.
Ce geste est perçu comme une humiliation professionnelle, ternissant l’image du RDB, qui avait pourtant l’occasion de se positionner comme un acteur sérieux et crédible sur la scène politique.
Des médias de renom comme France 24, RFI ou Reuters étaient présents. Quelle image retiendront-ils de cet événement ? À chacun sa réponse.
Une première sortie ratée ?
Loin d’un exercice maîtrisé de communication, ce premier face-à-face avec la presse a soulevé plus de doutes que d’adhésion.
Le Rassemblement des Bâtisseurs pourra-t-il rectifier le tir et instaurer un véritable dialogue avec les médias ?
Ou cette première impression restera-t-elle ancrée dans l’opinion publique ?
L’avenir du mouvement dépendra de sa capacité à corriger ces erreurs et à bâtir une relation saine avec la presse. Mais pour cela, il faudra passer des promesses aux actes.
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AFRIQUE CENTRALE RDCONGO SELON LE MONDE : RDC : le M23 refuse de participer aux discussions de paix à Luanda, Kinshasa maintient sa présence. Le Mouvement du 23 mars (M23), qui affronte l’armée régulière de la République démocratique du Congo (RDC) dans l’est du pays, a annoncé, lundi 17 mars, qu’il ne participerait pas aux « discussions de paix » prévues mardi à Luanda, en Angola. Kinshasa a confirmé, de son côté, sa participation malgré ce désistement.
AFRIQUE DE L’OUEST NIGER SELON RFI : Niger: Amnesty International pointe la détérioration des droits humains depuis le coup d’État. Au Niger, « les droits humains et l’espace civique sont sous pression depuis le coup d’État du 26 juillet », conclut Amnesty International, qui publie ce mardi 18 mars 2025 un rapport sur la situation dans le pays depuis le renversement du président Mohamed Bazoum et l’arrivée au pouvoir des militaires du CNSP… Les droits humains sont piétinés dans la législation comme dans les faits, estime Amnesty International, qui évoque des détentions arbitraires et certaines décisions de justice non respectées. Parmi les cas cités, le président renversé et plusieurs proches. Mohamed Bazoum, détenu avec son épouse à la résidence présidentielle depuis le coup d’État. Plusieurs de ses ministres en détention « pour des motifs politiques », précise Amnesty, malgré une décision de remise en liberté provisoire pour quatre d’entre eux, qui n’a jamais été appliquée. Les violations de la liberté d’expression sont incessantes, l’autocensure semble être devenue la norme, poursuit l’organisation. Des médias internationaux sont suspendus, tout comme la maison de la presse à Niamey. Dans le viseur également, il y a également la société civile. Amnesty International cite le cas du secrétaire général d’Alternative espaces citoyens.
AFRIQUE DE L’OUEST BURKINA FASO SELON LE MONDE : L’est du Burkina Faso frappé par deux attaques djihadistes meurtrières. L’est du Burkina Faso a été frappé en fin de semaine dernière par deux attaques distinctes qui ont fait au moins une douzaine de morts parmi les forces de sécurité et des civils, a appris l’Agence France-Presse (AFP), lundi 17 mars, de sources sécuritaires et locales. « Le 14 mars, des centaines de terroristes ont attaqué le détachement du groupement des unités mobiles d’intervention [GUMI, police] basé à Yamba », une localité située à une trentaine de kilomètres de Fada N’Gourma, le chef-lieu de la région de l’Est, a rapporté à l’AFP une source sécuritaire. « Le bilan est lourd. Il y a plus d’une douzaine d’éléments tombés [morts] et des dizaines de blessés. Les corps ont été conduits à Fada N’Gourma sous escorte militaire, mais ils n’ont pas été encore inhumés », a précisé cette source sécuritaire, qui ajoute que les victimes sont essentiellement des policiers et des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP, supplétifs civils de l’armée). Une autre source policière, contactée par l’AFP, a confirmé l’attaque, évoquant de son côté « seize morts » et « plusieurs éléments portés disparus ». Cette même source a parlé d’une autre attaque, le lendemain dans la localité de Foutouri, proche de la frontière nigérienne.
AFRIQUE DE L’EST SOUDAN SELON LE MONDE : Guerre au Soudan : les militaires annoncent leur jonction au cœur de Khartoum. Les combats faisaient rage, lundi 17 mars, à Khartoum, dont l’armée soudanaise tente de reprendre le contrôle face aux paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR). Des troupes de l’armée régulière venant du sud de la capitale ont rejoint des forces déjà présentes dans le centre de la ville, près du palais présidentiel toujours aux mains des paramilitaires, a annoncé un porte-parole militaire. A Omdurman, ville mitoyenne de Khartoum, une nouvelle attaque des FSR a tué dix personnes, lundi. Un bombardement avait déjà endeuillé la ville dimanche. Le porte-parole militaire, le général Nabil Abdullah, a fait savoir, lundi, que le corps blindé venant du sud de la capitale avait rejoint les forces du commandement général déjà dans le centre de Khartoum, après s’être emparées d’un hôpital tenu jusqu’à présent par les paramilitaires, en guerre contre l’armée depuis avril 2023. Le corps blindé avait brisé, en octobre 2023, le siège imposé par les paramilitaires pendant plusieurs mois autour de sa base, dans le sud de Khartoum, et avait commencé à progresser vers le centre de la capitale cette année. En janvier, l’armée avait reconquis son quartier général à Khartoum. Avec cette avancée, l’armée renforce son contrôle sur une grande partie du centre de la capitale soudanaise et accroît la pression sur les combattants des FSR positionnés près du palais présidentiel, situé sur une rive du Nil, les soldats approchant désormais par le sud et l’est.
AFRIQUE DE L’EST ENCORE LE SOUDAN SELON RFI : Soudan du Sud: bombardements de l’armée sud-soudanaise sur la ville de Nasir, dans le Haut-Nil. Au Soudan du Sud, des bombardements aériens ont été menés par l’armée sud-soudanaise dans la nuit du dimanche 16 mars sur la ville de Nasir, dans le Haut-Nil (nord-est du pays). Ces bombardements ont fait 21 morts selon les autorités locales, citées dans la presse sud-soudanaise. Située près de la frontière éthiopienne, Nasir est, depuis la mi-février 2025, le théâtre d’affrontements meurtriers entre l’armée sud-soudanaise et une milice nuer, la White Army, réputée proche du vice-président Riek Machar. Un général de l’armée régulière avait été tué lors de son évacuation le 7 mars, après que la base militaire a été conquise par la White Army. Lors d’une conférence de presse, ce lundi 17 mars, le porte-parole du gouvernement sud-soudanais a également confirmé la présence de troupes ougandaises au Soudan du Sud. Il l’avait dans un premier temps niée, quand l’annonce avait été faite par l’armée ougandaise le 11 mars. « Des unités techniques et de soutien » : s’il a finalement confirmé la présence militaire ougandaise au Soudan du Sud, Michael Makuei n’est pas entré dans les détails, « l’armée ougandaise, a-t-il déclaré, est actuellement présente à Juba et au Soudan du Sud, en vertu d’un pacte militaire entre les gouvernements du Soudan du Sud et de l’Ouganda signé du temps de l’Armée de Résistance du Seigneur (LRA).
AFRIQUE DE L’OUEST SENEGAL SELON RFI : Sénégal: la ministre Yassine Fall, à Nouakchott, pour renforcer les relations entre les deux pays. La ministre sénégalaise des Affaires étrangères, Yassine Fall, était en visite en Mauritanie, ce lundi 17 mars, dans un contexte de tensions liées à l’expulsion de migrants ouest-africains dont de nombreux Sénégalais. Cette visite survient après plusieurs jours de dénonciations, par des ONG, des conditions de refoulement des migrants en Mauritanie qui sont jugées inhumaines. Elle a rencontré le président mauritanien, mais s’est montrée prudente dans ses déclarations à la sortie. Yassine Fall, la ministre des Affaires étrangères sénégalaise a remis une lettre du président Bassirou Diomaye Faye au président mauritanien Mohamed Ould Ghazouani. À la sortie de la rencontre, elle affirme avoir apporté un message de solidarité et de salutations en ce mois de ramadan. Yassine Fall explique aussi avoir discuté de la situation « de solidarité et d’amitié entre les deux pays » ainsi que la nécessité de renforcer cette situation au niveau « humain, économique et social ». Pas un mot, en revanche, sur la promesse faite par la Mauritanie et relayée par la ministre, la semaine dernière, de transmettre les modalités d’obtention de la carte de résidence mauritanienne pour les Sénégalais.
AFRIQUE DU NORD TUNISIE SELON TV5 MONDE : Tunisie : 612 migrants subsahariens secourus, 18 personnes noyées. La garde nationale de Tunisie a annoncé avoir secouru dans la nuit de dimanche à lundi 612 migrants subsahariens qui tentaient de rallier l’Europe et repêché 18 corps d’autres candidats à l’immigration provenant de pays d’Afrique subsaharienne. Des images vidéos diffusées par des gardes-côtes rattachés à la garde nationale montrent des personnes épuisées, parfois munies de grosses bouées noires, notamment des femmes et des enfants dont certains paraissent morts. Les rescapés ont été secourus dans plusieurs opérations, dans la région de Sfax (centre-est) après que leurs embarcations ont chaviré ou sont tombées en panne. Des unités de la garde maritime du centre du pays « ont réussi à faire échouer plusieurs tentatives séparées de rallier clandestinement l’espace européen », a indiqué ce lundi la direction de la garde nationale dans un communiqué. Sur les images vidéos, on voit au moins un corps flottant dans la mer, des hommes, des femmes et des enfants en grande détresse sur un bateau plus grand, et d’autres essayant de nager vers le navire des gardes-côtes…Avec la Libye, la Tunisie, dont le littoral se trouve à certains endroits à moins de 150 km de l’île italienne de Lampedusa, est devenue ces dernières années le principal point de départ en Afrique du Nord des migrants cherchant à gagner l’Europe.
AFRIQUE CENTRALE CONGO-B SELON RFI : Congo-B: le Premier ministre cubain en visite à Brazzaville pour relancer les relations bilatérales. Le Premier ministre cubain, Manuel Marrero Cruz, est arrivé au Congo-Brazzaville en compagnie de son épouse par un vol régulier d’Air France. Selon le programme officiel, il doit échanger ce mardi matin avec le premier ministre congolais Anatole Collinet Makosso. Il aura ensuite des entrevues avec les dirigeants des deux chambres du Parlement avant de boucler sa tournée des hauts responsables congolais avec le président Denis Sassou-Nguesso. Selon une source, l’objectif de cette visite est de redynamiser les relations entre les deux pays très proches à l’époque où ils étaient tous les deux marxistes léninistes et dans le camp de l’URSS. Leurs liens étaient étroits au point que le Congo avait servi de base arrière pour l’intervention militaire de Cuba lors de la guerre d’indépendance de l’Angola dans les années 70. Une coopération qui s’était également déclinée sur le plan médical ou de l’éducation, avant qu’elle ne baisse drastiquement. Nous voulons relancer la coopération entre nos deux pays, a assuré notre source qui précise toutefois qu’aucune signature n’est prévue pendant ce voyage. Cette visite est la première d’un responsable depuis plusieurs décennies.
AFRIQUE DE L’OUEST CÔTE D’IVOIRE SELON LE MONDE : Côte d’Ivoire : la plus vieille présence humaine en forêt tropicale attestée à Abidjan. Selon une étude publiée dans la revue « Nature », « Homo sapiens » a vécu il y a 150 000 ans sur un site localisé dans l’actuel quartier d’Anyama. Dans une étude publiée dans la revue Nature à la fin de février, une quinzaine d’archéologues et d’anthropologues de différentes nationalités viennent pourtant de le désigner comme le lieu de la plus vieille présence humaine dans une forêt tropicale. Avant cette découverte, les traces d’Homo sapiens – notre espèce, apparue il y a 300 000 ans – admises par la science dans ce type d’environnement étaient bien plus récentes : elles remontaient à 70 000 ans au maximum en Asie et en Océanie, rappellent les chercheurs…A Abidjan, il ne reste que près de 3 500 hectares de forêt tropicale au Banco, un parc national situé au cœur de la ville et continuellement grignoté par l’urbanisation…« Les forêts africaines n’étaient pas une barrière écologique majeure pour Homo sapiens il y a 150 000 ans », ont conclu les chercheurs dans l’étude publiée par Nature. En outre, les données « soulignent l’importance des nombreux biomes d’Afrique [régions qui s’étendent sous un même climat] » et de leur diversité dans l’évolution de l’humanité, expliquent-ils.
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✍ Par Félicité Amaneyâ Râ VINCENT
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