©Revue de presse des médias africains – 06 février 2025 REVUE DE PRESSE 06 février 2025

06 février 2025 - 12:12 - 616vues
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À propos de Félicité Amaneyâ Râ VINCENT
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AFRIQUE CENTRALE GABON SELON RADIOTAMTAM AFRICA: Gabon : Pourquoi l’État a repris le contrôle de la Société Nationale des Bois ? Après avoir renforcé sa présence dans le secteur pétrolier avec le rachat d’Assala Energy et le lancement de Fly Gabon dans l’aviation, l’État gabonais poursuit sa stratégie de souveraineté économique en reprenant le contrôle du secteur forestier. Dernière action en date : le rachat de la Société Nationale des Bois du Gabon (SNBG), une entreprise stratégique cédée au franc symbolique sous le régime d’Ali Bongo à GSEZ, filiale du groupe singapourien Olam.
Une vente controversée sous l’ancien régime
Cette décision fait suite aux conclusions d’une enquête parlementaire accablante, révélant que la SNBG, jadis fleuron de l’économie forestière gabonaise, avait été cédée pour seulement 1 million de FCFA, sans que les droits des employés ne soient pleinement respectés.
« La commission d’enquête parlementaire a conclu que la privatisation n’a pas respecté le cadre légal et réglementaire », explique le député Ali Eyeghe, à la tête de l’enquête.
Les parlementaires ont alors recommandé à l’État de dénoncer l’accord de cession et de reprendre activement le contrôle de la filière bois, essentielle pour l’économie nationale. Le secteur forestier est en effet le deuxième employeur du pays, juste après la fonction publique.
Un rachat justifié, mais une entreprise redressée
De son côté, GSEZ défend son bilan en expliquant que le rachat de la SNBG a permis d’éviter la faillite de l’entreprise.
« Quand GSEZ a racheté la SNBG, l’entreprise était en déficit, avec une dette de plus de 30 milliards de FCFA et des capitaux propres négatifs. Nous avons restructuré la société et apuré plus de 25 milliards de FCFA de dettes. En 2024, après 16 ans de pertes, la SNBG a enfin retrouvé l’équilibre », assure Igor Simard, administrateur délégué de GSEZ.
Une souveraineté retrouvée pour une exploitation durable
Pour le gouvernement de transition, ce rachat ne vise pas une exploitation forestière accrue, mais une meilleure gestion des ressources naturelles et un renforcement des politiques publiques en faveur du développement durable.
« L’objectif est de restaurer la souveraineté économique tout en conciliant préservation de nos ressources et retombées économiques », explique le général Maurice Ntossui, ministre des Eaux et Forêts.
Avec un taux de déforestation de 0,5 % par an et une contribution de 4 % au PIB, le secteur forestier gabonais est un pilier économique stratégique. Si l’Asie reste le principal marché d’exportation, l’Europe, de plus en plus exigeante en matière de traçabilité et de certification, impose des standards qui poussent le pays à mieux structurer son industrie du bois.
Une nouvelle ère pour le bois gabonais ?
Cette reprise de contrôle marque une étape clé pour la souveraineté économique du Gabon. L’État devra désormais veiller à trouver l’équilibre entre valorisation économique, préservation environnementale et justice sociale dans la gestion de cette ressource stratégique.
Le défi est de taille : le Gabon peut-il transformer cette initiative en un modèle de gestion durable et profitable pour toute la population ?
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AFRIQUE CENTRALE RDCONGO SELON RADIO OKAPI : Guerre de l’Est : les parlementaires en session extraordinaire pour proposer un plan de sortie de crise. L’Assemblée nationale et le Sénat ont entamé, mardi 4 février, leurs sessions extraordinaires pour proposer un plan de sortie de crise sécuritaire qui couve la partie Est de la RDC. A l’ouverture de cette session, le président de l’Assemblée nationale, Vital Kamerhe, indiqué que le Parlement devra présenter et proposer des stratégies pour une paix durable dans l’Est du pays. Il a invité les parlementaires à travailler assidument et à faire preuve de sacrifice afin de garantir la victoire de la RDC contre les rebelles du M23, soutenus par le Rwanda…De son côté, le président du Sénat qui s’est également réuni en session extraordinaire, a souligné que la passivité de la Communauté internationale face à l’agression dont est victime la RDC, constitue un affront non seulement à la RDC, mais aussi aux valeurs universelles de justice et de paix… « Je vous invite à proposer avec intelligence et sagesse des recommandations appropriées pour un plan de sortie de crise dans le volet politique et diplomatique tout en évitant de retomber dans les erreurs du passé », a plaidé le président la chambre basse du Parlement.
AFRIQUE CENTRALE ENCORE RDCONGO SELON RADIO OKAPI : Au moins 7 agents étatiques et acteurs de la société civile portés disparus à Goma. Au moins 7 agents étatiques et acteurs de mouvements citoyens manquent à l’appel depuis quelques jours dans la ville de Goma, au Nord-Kivu. Il s’agit notamment du coordonnateur provincial du Programme de désarmement, démobilisation et réinsertion communautaire et stabilisation, (P-DDRCS), Clovis Munihire et son conseiller principal, Thomas d’Aquin Muiti Luanda, disparus depuis jeudi 30 janvier, selon des sources locales. Ces sources indiquent que ces personnes ont été enlevées par des rebelles du M23, qui occupent le chef-lieu du Nord-Kivu. Ces deux agents de l’Etat auraient été interpellés par de présumés officiers du M23 pendant qu’ils tentaient de traverser la frontière congolo-rwandaise pour s’exiler dans la ville de Beni, en passant par le Rwanda et l’Ouganda, indiquent d’autres sources anonyme. Ces agents publics seraient actuellement tenus captifs dans un endroit secret, coupés de tout contact avec les membres de leurs familles…Des sources concordantes à Goma affirment qu’au moins 5 autres acteurs étatiques et membres de la société civile sont portés disparus depuis quelques jours.
AFRIQUE DE L’EST SOMALIE SELON FRANCE24 : Les frappes américaines en Somalie ont neutralisé « des figures clefs » de l’État islamique. Le gouvernement de la région somalienne semi-autonome du Puntland a affirmé, dimanche 2 février, que les frappes aériennes des États-Unis sur les monts Golis avaient tué « des figures clefs » de l’organisation de l’État islamique (EI)…L’EI a une présence relativement faible en Somalie par rapport aux Shebab, affiliés à Al-Qaïda, mais l’ONU a mis en garde contre un renforcement des affiliés de l’EI dans le pays. Les frappes ont ciblé une région du nord de la Somalie, où les forces du Puntland mènent depuis fin décembre une vaste offensive contre l’EI, qui se serait établi dans la région des monts Golis.
AFRIQUE DE L’OUEST GUINEE SELON VOAAFRIQUE : Inquiétude en Guinée deux mois après la disparition d’un journaliste. Un collectif pour la liberté de la presse en Guinée a exprimé sa « profonde inquiétude » deux mois après la disparition d’un journaliste d’investigation critique du pouvoir. Habib Marouane Camara « a été enlevé dans des circonstances alarmantes, suscitant des craintes quant à sa sécurité et à son bien-être », explique le collectif de journalistes Alumni Guinée dans un communiqué lundi soir, dénonçant « une atteinte grave aux droits humains et à la liberté de la presse. »…Le journaliste, qui dirige le site Lerevelateur224, avait été arrêté le 3 décembre par des hommes en uniforme dans la banlieue de la capitale guinéenne Conakry, selon ses avocats qui affirment ignorer où il se trouve…Une enquête a été ouverte en décembre par le procureur de la République de Dixinn, dans la région de Conakry, estimant que l’arrestation avait été effectuée « sans ordre des autorités constituées ». Depuis qu’elle a pris le pouvoir par un coup d’Etat en 2021, la junte guinéenne est accusée de réprimer la liberté d’expression dans ce pays pauvre d’Afrique de l’Ouest.
AFRIQUE DE L’OUEST MALI SELON TV5 MONDE : Mali : Malgré la crise sécuritaire, un foisonnant festival rend hommage à la culture dogon à Bamako. Danse d’impressionnants masques et lutte traditionnelle: la 10ème édition du festival « Ogobagna » qui vient de s’achever à Bamako a rendu un vibrant hommage à la culture dogon du centre du Mali, région autrefois touristique mais rendue inaccessible depuis des années par la crise sécuritaire. Pendant une semaine et jusqu’à lundi, la culture dogon a été transportée en pleine capitale Bamako, avec la reconstitution d’un village traditionnel sur les berges du majestueux fleuve Niger…Le pays dogon est la principale région touristique du centre du Mali. Les Dogons sont un peuple de cultivateurs et de forgerons qui vivent notamment dans les falaises escarpées de Bandiagara difficiles d’accès. Ils sont également connus pour leur cosmogonie unique au monde, leurs sculptures et masques en bois et leur architecture d’habitations en terre caractérisée notamment par leurs célèbres greniers à mil aux toits de chaume…Avec la participation d’artistes venus du Burkina Faso, du Niger, du Sénégal et de la Guinée, le festival Ogobagna 2025 a pris une dimension sous-régionale.
AFRIQUE DE L’OUEST NIGER SELON RFI : Niger: le Comité international de la Croix-Rouge sommé de quitter le pays. Au Niger, le gouvernement de Niamey demande au Comité international de la Croix-Rouge (CICR) de quitter le territoire. Les autorités n’ont avancé aucun motif pour justifier cette décision, et c’est par une simple note verbale que Niamey a exigé le départ de l’ONG. Une source issue de la société civile nigérienne et partenaire du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) indique à RFI que c’est le ministère des Affaires étrangères qui a dénoncé les accords de siège de l’organisation. Le chef de la délégation de l’ONG bénéficiant du rang de diplomate, une note verbale suffit donc à rendre officielle la décision du gouvernement…Aucune raison n’a été donnée pour expliquer cette décision…Un traitement similaire a été réservé à l’ONG française ACTED, et à sa partenaire nigérienne APBE, il y a moins de trois mois…Le CICR y rappelle qu’il était présent au Niger depuis 35 ans, avec des bureaux à Diffa, Tillabéri et Tahoua, et se félicite d’avoir apporté des soins de santé à plus de 120 000 personnes victimes de conflits armés l’année passée.
AFRIQUE CENTRALE TCHAD SELON JEUNE AFRIQUE : Au Tchad, le Premier ministre Allamaye Halina reconduit par Mahamat Idriss Déby Itno. À peine quelques heures après sa démission, il a été reconduit. Le Premier ministre tchadien Allamaye Halina a été confirmé à son poste par un décret présidentiel diffusé mardi 4 février à la télévision d’État. « Allamaye Halina est nommé Premier ministre, chef de gouvernement », a annoncé Mahamat Ahmat Alhabo, le secrétaire général de la présidence du Tchad. Un peu plus tôt, Allamaye Halina avait adressé une lettre au président tchadien Mahamat Idriss Déby Itno dans laquelle il lui notifiait sa démission ainsi que celle de son gouvernement, au moment où les nouveaux députés s’installaient à l’Assemblée nationale…Ancien ambassadeur du Tchad en Chine, Allamaye Halina est un fidèle des Déby, lui qui a dirigé pendant 13 ans le protocole de la présidence de la République sous Mahamat Idriss Déby Itno et son père avant lui…En mai 2024, quelques jours après la victoire à l’élection présidentielle de Mahamat Idriss Déby Itno, Allamaye Halina avait été nommé Premier ministre. Son prédécesseur, Succès Masra, avait présenté sa démission un peu plus de deux semaines après sa défaite au même scrutin.
AFRIQUE DE L’OUEST TOGO SELON VOAAFRIQUE : Dix ans de prison pour 14 manifestants de 2018 au Togo. Quatorze personnes accusées d’avoir pris part aux manifestations contre le régime togolais en 2018, emprisonnées depuis leur arrestation, ont été condamnées à 10 ans de prison par la Cour d’assises de Lomé, dans la nuit de lundi à mardi. Quatorze personnes accusées d’avoir pris part aux manifestations contre le régime togolais en 2018, emprisonnées depuis leur arrestation, ont été condamnées à 10 ans de prison par la Cour d’assises de Lomé, dans la nuit de lundi à mardi. « Cette cour d’assises a manqué tout simplement d’audace. Elle n’a pas su tirer la conséquence des tortures subies par les accusés », a déclaré mardi à l’AFP Darius Atsoo, l’un des avocats des accusés.
AFRIQUE DE L’EST OUGANDA SELON LE MONDE : En Ouganda, l’essai du vaccin contre la fièvre hémorragique virale Ebola a commencé. L’essai du vaccin contre Ebola en Ouganda a commencé lundi 3 février, moins d’une semaine après que les autorités ont déclaré l’épidémie, a annoncé le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus. « Cet essai de vaccin a été lancé en un temps record (…), tout en assurant le respect total des exigences réglementaires et éthiques nationales et internationales », a affirmé le chef de l’OMS sur le réseau social X…Les autorités ougandaises ont annoncé le 30 janvier une épidémie d’Ebola, fièvre hémorragique virale souvent mortelle, dans la capitale, Kampala, où la maladie a tué un infirmier de 32 ans qui travaillait à l’hôpital national Mulago de la ville, a précisé la secrétaire permanente du ministère de la santé ougandais, Diana Atwine, citée sur X.
AFRIQUE CENTRALE GABON SELON RFI : Gabon: l’opposant Louis-Gaston Mayila est décédé à l’âge de 78 ans. Le célèbre avocat gabonais Louis-Gaston Mayila, mais surtout célèbre leader politique et un des fidèles compagnons de l’ancien président Omar Bongo est mort, le 5 février 2025 à Berck-sur-Mer dans le Pas-de-Calais (nord de la France) où il s’était retiré après un accident vasculaire cérébral en 2024 au Gabon. Louis Gaston Mayila qui a combattu Ali Bongo jusqu’à sa chute a marqué son époque et la vie publique gabonaise…Louis-Gaston Mayila était l’une des principales figures politiques du Gabon, ces 50 dernières années. En 1974, il quitte son travail dans le pétrole pour le poste de conseiller personnel d’Omar Bongo. Il n’a que 27 ans. Un an plus tard, il devient Directeur de cabinet du chef de l’État. Son ascension politique est fulgurante. Il est nommé plusieurs fois ministre. Lorsque que vint la conférence nationale de 1990, il est parmi la jeune garde qui entoure Omar Bongo, vilipendé par la classe politique. Leurs chemins se séparent en 1992. Louis-Gaston Mayila démissionne de l’entourage de Bongo. Devenu opposant, il fonde le Parti de l’unité du peuple (PUP).
AFRIQUE DE L’OUEST NIGERIA SELON RFI : Nigeria: des étrangers membres d’un réseau d’escroqueries en ligne comparaissent devant la justice. Au Nigeria, une quarantaine d’étrangers soupçonnés d’être membres d’un vaste réseau d’escroqueries en ligne ont comparu devant la justice nigériane lundi 3 février. Ils ont été arrêtés mi-décembre dans le cadre d’un vaste coup de filet de l’Agence nationale anti-corruption et font notamment face à des charges de « crimes en ligne, cyber terrorisme, usurpation d’identité, possession de faux documents ». La grande majorité des accusés sont d’origine chinoise, quelques-uns viennent des Philippines, du Pakistan ou encore d’Indonésie. Tous sont accusés d’avoir recruté et employé secrètement des dizaines de jeunes nigérians pour mener des activités frauduleuses sur internet, compromettant ainsi « la stabilité économique et les structures constitutionnelles du Nigeria ». En tout, ce sont près de 800 personnes qui ont été interpellées mi-décembre dans un immeuble de sept étages situé sur l’île de Victoria Island, en plein cœur de Lagos.
AFRIQUE DU SUD SELON TV5MONDE : En Afrique du Sud, la coalition du lion et de l’agneau tangue mais ne rompt pas. Sept mois après sa formation, le gouvernement d’union nationale sud-africain continue de tanguer au rythme de ses désaccords bruyants mais ne rompt pas, avec à la manoeuvre le président Cyril Ramaphosa, qui doit prononcer jeudi son discours sur l’Etat de la nation…La DA est le principal associé de l’ANC de M. Ramaphosa au sein du gouvernement de coalition issu des élections de mai dernier, singulier attelage ou elle est à la fois la partenaire et l’opposante du parti au pouvoir depuis la fin de l’apartheid, dans les années 1990…Une alliance a priori contre nature entre l’ANC, parti historique de la lutte anti apartheid et la DA (libéral de centre-droit), où la seconde a un problème de taille: elle n’est pas faiseuse de rois…Pour le politologue Sandile Swana, « la DA ne quittera pas le gouvernement d’union nationale (GNU) car elle est le parti politique des grandes entreprises », qui ont « demandé la création du GNU », notamment via les principales organisations patronales BBC, Busa et BLSA. La coalition pourrait ainsi survivre au-delà des élections locales prévues fin 2026 ou début 2027, même si ses partis se déchirent autour de ces scrutins, assure [la politologue] Susan Booysen.
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